Qui tient à la fois de la cuirasse et de la maison

Henry Berthoud, Le monde des insectes, Paris, Garnier Frères, 1864, p. 270.

Fort vorace, elle dévore toutes les autres larves, ses voisines, et comme elle est nue, elle se construit un vêtement qui tient à la fois de la cuirasse et de la maison.
Elle se sert pour cela de brins d’herbes, de petites pierres, de grains de sable et de fragments de bois. Elle attache à une pierre ou à un roseau cet étui, qu’elle ferme par un caillou plat, à l’aide de fils végétaux.