Anonyme, Le ruisseau, Paris, Magasin pittoresque, 1846, p. 271.
Ce qu’on trouve en suivant le cours du ruisseau.
Là se trouvent surtout les larves de friganes, si remarquables par l’étui qu’elles savent se construire avec des débris de végétaux, en y agglutinant quelquefois de petites coquilles, du sable, de petits cailloux etc. Cet instinct singulier a fait nommer quelquefois ces larves des portefaix.