Anonyme, « Chronique des pêcheurs : le gardon », L’Ouest-Eclair, Paris, 7 juillet 1928, p. 2.
Le Cherfaix est pourvu d’un nombre respectable de noms : ver d’eau, traîne-bûches, porte-bois, caset, casier, caseret, portefaix, azerote, et nous en oublions. C’est la larve de la phrygane. Elle se développe dans l’eau en se construisant un étui formé de brindilles auxquelles s’incrustent généralement de minuscules coquillages. Ces étuis ont environ deux centimètres de longueur.