Arthur Chevalier, Traité Théorique et Pratique du Microscope et des préparations, Paris, Adrien Delahaye, 1865, p. 515.
Nous trouvons dans une note de le Baillif un procédé qu’il donne comme infaillible pour se procurer des rotifères « En 1811, dit-il, j’exploitai particulièrement la mare d’Auteuil. Toutes les fois que les eaux rapportées contenaient des productions connues sous le nom de loges de verres à tuyaux (phryganes), j’étais sûr d’y trouver des rotifères »