Henri Coutière, Le monde vivant, Histoire naturelle illustrée, tome troisième, Paris, Les Éditions Pittoresques, 1928, p. 197.
Ces dernières sont fort communes dans tous les ruisseaux (Phryganea grandis), et les pêcheurs, qui les estiment comme appât, les nomment « porte-bois » et savent fort bien les faire sortir sans dégât de leur abri. Celui-ci est un tube, très variable avec les espèces, mais qui est toujours formé de particules étrangères cimentées par quelque sécrétion soyeuse buccale.