André Dhotel, Idylles, Paris, Gallimard, 1961, p. 159.
Claude s’accroupit, et il vit dans l’eau les premiers porte-bois traînant leurs tuyaux avec le plus grand sérieux, ainsi que feraient des bassets qui se seraient enfilés dans une gouttière, et auraient pris le parti d’y rester, satisfaits d’avancer sur les pattes de devant pour l’honneur et la gravité de leur propre existence.