Michel Duborgel, « Les esches de A à Z : porte-bois, patraque et autres bestioles »,  La pêche et les poissons, Paris, n° 412, septembre 1979.

Le porte-bois ou ver d’eau, traîne-bûche, cercado, cazet, porte-faix, cherfaix, azérote, drague, césaille, saget, chatenotte, suzet, suzée, moins…

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Principalement, dans les rivières et les ruisseaux à fond mis-ablonneux, mi-caillouteux ; surtout  dans les endroits encombrés de bois mort immergé contre lequel sont collés les étuis de brindilles et de graviers agglutinés dans lesquels vivent ces larves de phryganes ; mais aussi sous les cailloux ; leur ramassage s’effectuant soit à la main, soit à l’aide d’une épuisette à mailles fines disposées en aval du support (branche morte ou roc) dans les endroits à courant relativement vif.

Dans l’eau calme d’un étang, surtout aux abords des rigoles, on peut également se procurer des porte-bois en arrachant des touffes d’herbes de bordure.