J.-F. Dubroca, Entretiens d’un père avec ses enfants sur l’Histoire Naturelle, tome IV, Paris, Des Essarts, 1797, p. 79.
Elles sont sur tout remarquables par la structure singulière de leurs fourreaux quand elles passent à l’état de larves ; elles les font avec des brins de jonc ou d’herbe, ou de petites coquilles, ou de petits grains de sable, dont elles se fabriquent un étui anguleux en forme de cylindre, dans lequel elles nagent sous l’eau, et qui leur sert de retraite et d’asile contre leurs ennemis.