André Gide, Si le grain ne meurt, Paris, Gallimard, 1966, p. 88.
Le fond du bassin était cimenté, et, sur ce fond semblable à des débris végétaux, quantités de larves de phryganes se traînaient dans leur bizarre fourreau de brindilles. J’en élevais dans une cuvette, mais dus quitter le Houlme avant d’avoir pu assister à leur transformation.