Christoph Imboden, Eaux Vivantes, adaptation française Paul Géroudet, Bâle, Ligue Suisse pour la protection de la Nature, 1976, p. 35.
Les larves, semblables à des chenilles, tissent un fourreau de soie autour de leur corps mou et le renforcent avec des matériaux recueillis dans l’eau ; tantôt des débris de plantes, des fragments de bois ou de petites coquilles de mollusques, tantôt des grains de sable, de petites pierres, etc…/..
Dans les eaux dormantes, l’étui est garni surtout de matériaux légers (33), tandis que dans les ruisseaux vifs, il est alourdi de petits graviers (32) ; dans ce dernier cas, le fourreau est souvent un peu recourbé, ce qui lui évite d’être roulé et emporté.