Jean-Pierre Biscay, Orhiko Itzalian (A l’ombre du Pic d’Orhy), Bayonne, Imprimerie Sodres, 1970, p. 27.
Nous, les enfants, cueillons mûres et prunelles parmi les ronces ; nous cherchions aussi, dans les galets, des vers d’eau (1)pour la pêche paternelle.
(1) La phrygane, ou ver d’eau, ou porte-bois, vers qui s’enveloppe d’une carapace de gros sable, est utilisée par les pêcheurs comme appâts.