Jérôme Favard, Histoires d’eaux ou la pêche au coup, Paris, Les Editeurs Français Réunis, 1975, p.177.
Vous verre aussi qu’elle picore les casières avec leur fourreau. Mieux vaudra pourtant, si la plus fine mouche ne rapporte rien, lui en présenter une, ou même deux, de ces casières-là, bien replètes, déshabillées de leur gangue, et l’ardillon bien dégagé.