Laurence Pringle, Fleuves et Lacs, La Planète Terre, Amsterdam, Time-Life, 1985, p. 83.
Pour mieux résister à la fois au courant et aux prédateurs, la larve de la phrygane s’enferme dans un étui qu’elle fabrique elle-même. Peu après l’éclosion elle se vêt de débris divers qu’elle fixe avec une sorte de fil de soie sécrété par une glande spéciale située près de la bouche. Elle choisit les matériaux les mieux adaptés à la vitesse du courant : des feuilles, des coquilles, des brindilles, et même des gravillons.