Marcel Orieux, Sciences d’Observations Classe de Cinquième, Hachette, 1951, p.97,
Sa larve aquatique, bien connue des pêcheurs qui l’utilisent comme appât, porte les noms de traîne-bûche, porte-faix, charpentier,… Cette larve sécrète une salive soyeuse ; et c’est au cours de son travail qu’elle fixe, sur la soie encore visqueuse, des matériaux qui lui font un fourreau protecteur.