Marcel Marlier, Jean-Lou et Sophie au bord de la rivière, Paris, Casterman, 1972, p. 9.
La larve de phrygane, qui ne possède pas, comme l’écrevisse, une carapace naturelle, se protège en construisant autour d’elle une sorte d’étui formé de grains de sable, de menus coquillages ou de brindilles.