René Martin, « Les Portefaix », La revue Scientifique du Limousin, n°100, neuvième année, 15 avril 1901, p. 63-64.
Et, ce qui est remarquable c’est que tous ou presque tous ces insectes, à l’état larvaire, construisent un tube pour se protéger et que chaque espèce, ou au moins chaque groupe, bâtit un tube caractéristique et particulier. Lorsque l’entomologiste trouve un fourreau vide ou plein, il lui suffit d’un simple examen pour reconnaître que ce fourreau a appartenu à telle ou telle espèce, ou au moins à tel ou tel genre. Chacun bâtit à sa manière, comme chaque oiseau se construit un nid particulier et facilement reconnaissable.
.