Jérôme Nadaud, Tous les poissons et la pêche, Paris, Casterman, 1957, p.27.
Les larves sont protégées par un petit étui, un fourreau fait de brindilles d’herbes ou de gravier. Ce sont ces bestioles que les pêcheurs nomment porte-bois, portefaix, cazet, traîne-buche, chalut-bois, et de bien d’autres noms encore. La truite vorace avale souvent le porte-bois avec son étui. Les autres poissons, plus gastronomes, préfèrent la larve de phrygane décortiquée.