B. Poitevin, L’ami du pêcheur, traité pratique de la pêche à toutes lignes, Paris, G. Masson, 1881, p. 109.
Mais cette larve est plus généralement connue sous le nom de porte-bois à cause du tube dans lequel elle vit et qu’on croirait de bois, bien qu’il soit formé par l’animal même.