Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, Études progressives d’un naturaliste pendant les années 1834 et 1835, Paris, Roret, 1835, p. 89.
Je revoyais alors pour la troisième fois les carrières du calcaire indusien de Saint-Gérand, ces carrières en grande partie formées d’indusia tubulata. Dans ce sol très varié, où abondent l’helix nemoralis, le cypris faba et des paludines, empâtés dans des détritus de conserves, dans des végétaux bouleversés et amenés à l’état terreux, et où des éphémères, on a dit des phryganes, ont établi leur domicile ; là, dis-je, existent mêlés ensemble quelques ossements de grands animaux.