A. Viger, « Revue Scientifique, Les insectes marins », Manuel général de l’instruction primaire, Paris, n° 23, 25 février 1933, p. 434.
Tous les pêcheurs à la ligne connaissent les larves entourées d’un étui, qu’elles construisent avec divers éléments empruntés au milieu où elles vivent : Réaumur les appelait des « teignes aquatiques » et on les nomme des phryganes. Elles sont collées sous les pierres des ruisseaux, et sont, ainsi toujours immergées.