Triomphe du calembour

Anonyme, Bulletin de la Société d’émulation du Bourbonnais, Moulins, p. 100, 1950.

Seulement, on ne peut que prendre en pitié l’idée grotesque qui porta les amis du défunt à faire un double calembour sur sa tombe en y plaçant en guise de monument, outre un peuplier, (populus), une borne de phryganes, trouvée dans le lit de l’Allier et matérialisant le nom de Roche. » Cette sépulture serait dans la grande allée du cimetière, la troisième à main droite avant le rond-point central. Un journaliste a pu la qualifier, non sans raison de « triomphe du calembour ».