V. Borlandelli, « La truite au porte-bois », La pêche et les poissons, Paris, n°492, mai 1986, p. 92.
Le ramassage des porte-bois ne pose généralement pas de problèmes. A partir du mois d’avril, le fond des rivières saines en est tapissé dans les secteurs calmes ou à faible courant. Il suffit de relever une pierre pour en glaner une poignée, que l’on peut conserver toute une journée dans de la mouse humide à l’intérieur d’une boîte, en bois de préférence. Les porte-bois dont la coquille est constituée de petits graviers et de sable agglomérés sont plus recherchés car la larve est de couleur claire, parfois franchement jaune dans les rivières calcaires.