L. Gaillourdet, « Dans le Cantal », Au bord de l’eau, Plaine et bois, la grande revue de pêche et de chasse, n° 222-223, 1955, p. 56.
Comme esche, au lieu du classique ver rouge, j’utilise le porte-bois (appelé là-bas draille, ou plus simplement ver d’eau). Je lui vois deux avantages :
1) facilité d’approvisionnement (il suffit de se baisser pour les prendre à ses pieds, ils pullulent)
2) esche moins souvent abîmée que le ver par les vairons qui foisonnent littéralement dans cette rivière.