Justin Macquart, Facultés intérieures des animaux invertébrés, Lille, Imprimerie L. Danel, 1859, p. 194.
Celles des Phryganes, après avoir tissé un cylindre de soie, le recouvrent de pierres, de feuilles, de bois, de coquilles, en se servant exclusivement de l’un de ces matériaux, et elles les mettent en œuvre, tantôt d’une manière grotesque, tantôt avec beaucoup d’art, tel que le fourreau où la Lenticule présente une mosaïque en spirale aussi élégante que régulière.