Marquis de Nadaillac, Le Correspondant, Paris, Bureaux du Correspondant,vol. 165, 1891, p. 1084- 1085.
La larve de la phrygane vit dans l’eau ; elle se construit un étui tubulaire au moyen de fragments de toute sorte agglutinés avec la soie qu’elle file. Si, pendant la confection de cet étui, elle trouve qu’il est trop lourd, elle a bientôt fait d’ôter une feuille, un petit brin de paille ; si au contraire, il flotte sur l’eau à raison de sa trop grande légèreté, elle y porte un grain de sable en guise de lest.