Qu’on croirait de bois

B. Poitevin, L’Ami du pêcheur, traité pratique de la pêche à toutes lignes, ouvrage contenant la jurisprudence en matière de pêche, Paris, Masson, 1873, p. 199.

 

Cet insecte, peu connu des pêcheurs, est un des meilleurs appâts de surface pour la pêche à la mouche ; la larve aquatique qu’il produit est également un appât de fond et de surface auquel nul autre ne doit être préféré. Cette larve s’appelle, suivant les pays, porte-bois, chênefer, cherfaix, portefaix, etc. Mais cette larve est plus généralement connue sous le nom de porte-bois à cause du tube dans lequel elle vit et qu’on croirait de bois, bien qu’il soit formé par l’animal même.