Abbé Provancher, « Le musée », Le Naturaliste Canadien, Cap Rouge (Québec), vol. XXIII, n°6, décembre 1889, p. 25.
N°8. Ce n’est pas un mollusque, mais plutôt un étui servant de retraite à une larve de je ne sais quoi. J’en ai trouvé en abondance dans une source. Ces étuis sont habités par une espèce de ver qui ne montre que la tête et les pattes mais aussitôt qu’on le dérange, il disparaît. »
Ce sont les étuis ders larves de Phryganes, insectes névroptères ; ces étuis sont formé de grains de sable, mais il arrive aussi souvent qu’on en trouve composés de petits éclats de bois, d’aiguilles de conifères, etc.