Simon Tillier (dir.), Le règne animal, A à Z, Paris, Bordas, 1994, p. 373.
La majorité des larves fabriquent des fourreaux de soie sur lesquels elles fixent de petits morceaux de végétaux, divers débris, grains de sable, petites coquilles de gastéropodes, etc. Ces fourreaux qu’elles traînent dans tous leurs déplacements leur ont valu le nom de porte-bois ou porte-faix ; ils peuvent être cylindriques ou coniques, droits aplatis, recourbés ou enroulés.