L. Bosc, « Note », Paris, Journal des Mines, tome 17, 1805, p. 397-399.
Archives pour la catégorie Text / Texte
The Temple of Nature
Rasmus Darwin, The Temple of Nature: or the Origin of Society, A poem with philosophical notes, Baltimore, John W. Butler, 1804, p.20.
Quelques brins de feuillage roulés
J. B. G. Bory de Saint-Vincent, Voyage dans les quatre principales iles des mers d’Afrique, fait par ordre du gouvernement, pendant les années neuf et dix de la République (1801 et 1802), tome second, Paris, Chez F. Buisson, 1804.
Ils sont obligés de le suivre par tout où il lui plait
Pierre-André Latreille, Histoire Naturelle des crustacés et des insectes, Paris, imprimerie F. Dufart 1801-1804.
Cette pièce est nécessaire à sa perfection
Collectif, article rédigé par Olivier & Latreille, Nouveau Dictionnaire d’Histoire Naturelle Appliquée aux Arts, tome IX, Paris, Chez Deterville, 1803, p. 87-88.
Elles sont remarquables
John Friedrich Blumenbach, Manuel d’histoire naturelle, Metz, Chez Collignon, 1803. Lire la suite
La semblis
Aubin Louis Millin, Éléments d’Histoire Naturelle, Paris, Léger, 1802, p. 581.
Avec un art admirable
Charles Athanase Walckenaer, Faune parisienne, insectes. Ou Histoire abrégée des insectes des environs de Paris, classés d’après le systême de Fabricius; précédée d’un discours sur les insectes en général, pour servir d’introduction à l’étude de l’entomologie, Paris, Dentu, 1802.
Recouvert d’ordures
C. J. Draparnaud, « Observation sur La Lime », Suite des travaux de la Société de Montpellier, Paris, La Décade Philosophique, Littéraire et Politique, Vol 4, Au Bureau de la Décade Philosophique, 1801.
On en rencontre assez souvent
Jacques Christophe Valmont-Bomare, Dictionnaire Raisonné Universel d’Histoire Naturelle, Lyon , Chez Bruyset, 1800.
La larve use par instinct des artifices les plus propres à produire l’illusion
A. L. Millin, Magasin Encyclopédique ou Journal des Sciences des Lettres et des Arts, Paris, n°1, 1799, p. 22-23.
Mais en étudiant la manière de vivre particulière à chaque espèce, on voit que la larve use par instinct des artifices les plus propres à produire l’illusion.
L’une se développe parmi les roseaux des petites rivières ; elle se file un fourreau, coupe des brins d’herbes tenues, les colle, suivant leur longueur, sur le cylindre dans lequel elle habite, et ressemble ainsi, par la forme et la couleur de son enveloppe, à une tige rompue de la plante dont elle se nourrit.
Une autre vit de lemna et de callitriche ; elle fixe aussi sur son étui, des feuilles de ces plantes qui ne cessent point de croître. En communiquant le mouvement à ces petits végétaux, la larve de la phrygane paroît les douer d’une nouvelle vie qui contraste singulièrement avec l’immobilité des eaux dans lesquelles elle séjourne pour l’ordinaire.
Quelques-unes se nourrissent de prêles, de carex, de joncs, de graminées ; elles en contournent diversement des portions, et s’en font artistiquement des demeures dans lesquelles elles vivent parfaitement en sureté. Une autre espèce non moins curieuse, se rencontre dans les eaux vives et rapides ; pour ne point être entraînée par le courant, elle colle à son fourreau les petites coquilles qu’elle rencontre, en dégorgeant sur elle ue humeur visqueuse et tenace, lors même qu’elles renferment encore leurs habitants qu’elle semble forcer à servir à sa protection.
Telles sont les ruses aux moyens desquelles les larves de ces genres, échappent à la voracité des poissons qui en sont très friands.
Philosophie entomologique
J. Flor Saint-Amans, Philosophie Entomologique, Agen, An VII.
Voyez Frigane
Henri-Gabriel Duchesne, Manuel du naturaliste, vol. 1, Paris, Chez Rémont, 1797, p. 443.
Sur tout remarquables
J.-F. Dubroca, Entretiens d’un père avec ses enfants sur l’Histoire Naturelle, tome IV, Paris, Des Essarts, 1797, p. 79.
La charrée
Gaspard Guillard de Beaurieu, Cours d’histoire naturelle ou Tableau de la nature considérée dans l’homme, les quadrupèdes, les oiseaux, les poissons et les insectes, tome VII, Paris, Bossange, Masson & Besson, 1794-95, p. 234-235.