J. Garnier, « Les insectes dans l’Antiquité & au Moyen Age. Essai Historique », Mémoires de la Société Linnéenne du nord de la France, Amiens, 1867.
Aristote n’a point seulement observé les métamorphoses complètes, il connaît aussi les incomplètes, dans lesquelles la larve ne diffère de l’insecte parfait que par les ailes, et acquiert plus tard ces organes de locomotion.
Il n’est pas moins exact quand il parle des guèpes maçonnes, des bourdons ; des friganes, de l’étui dont leurs larves s’enveloppent, quoiqu’il ne connaisse pas bien l’animal ailé qui en sort.