Quant aux épaves

Henry David Thoreau, Walden or life in the woods, 1854, traduit de l’américain par G. Landré-Augier, Paris, Aubier, 1967.

Et quant aux épaves, le sable est jonché d‘étuis de larves de phryganes faites de grains minuscules de quartz blanc. Peut-être ce sont eux qui ont ainsi creusé le sable, car on trouve dans ces sillons quelques-unes de leurs étuis, quoiqu’ils soient bien profonds et larges pour avoir été faits par eux.

Chapitre XIII Installation

Texte original : http://trichoptere.hubert-duprat.com/thoreau-1854-1967-origin/