Françoise de Guibert, Insectes et autres bestioles, Ill. Alain Boyer, L’incroyable Encyclopédie, Paris, Larousse, 2008, p. 23. Lire la suite
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Coloré
Gerald Durrell, Ma famille et autres animaux, traduit de l’anglais par Léo Lack, Paris, Stock, 1979.
Promenons nous maintenant au bord des eaux
Serge Jacquemart, « Porte-bois, cazet, portefaix, ver d’eau, chairfaix, traîne-bûche ou chalut-bois, le trichoptère doit échapper à la convoitise des poissons ou à celle des pêcheurs avant de devenir la phrygane » La vie des bêtes et l’ami des bêtes, n° 31, juin 1961.
Jean Rostand
Jean Rostand, Insectes, Voir et savoir, Paris, Flammarion, 1936.
D’après les renseignements donnés par M. Girard
Henri Coupin, La vie curieuse des Bêtes, Paris, Armand Colin, 1906, pp. 70-71.
Quand la pierre est placée
Henri Coupin, Les Arts et Métiers chez les Animaux, Paris, Librairie Vuibert, 1904, pp. 264-265.
Qui logerai-je dans mon auge vitrée ?
Jean-Henri Fabre, Souvenirs entomologiques. Septième série, Paris, Delagrave, 1900 : chap. XX. « La Phrygane ».
Que faire ?
Victor Van Tricht, Nos Insectes : deux causeries, Namur, Paul Godenne, 1883, p. 46-47.
Mais, mon oncle, c’est donc un tombeau?
A. D’Arzano, L’aquarium de l’oncle Michel. Récits instructifs de botanique et de zoologie, Paris, F. F. Ardant Frères, 1881, p. 71-74.
Une loi régulière et prédestinée
Maurice Girard, Traité élémentaire d’Entomologie, tome II, Paris J.-B. Baillière, 1879, p. 530-531.
Un peu prismatique
Maurice Girard, « Note sur la phrygane flavicorne », Bulletin d’Insectologie Agricole, Paris, mai, 1878, pp. 69-71.
Ma fille
Alfred Smee, Mon jardin, traduction Edmond Barbier, Paris, Librairie G. Baillière, 1876, p.492-494.
Un art particulier
Abraham Trembley, Instructions d’un père à ses enfants sur la nature et sur la religion, Neuchâtel, Samuel Fauche, 1779.
Huit polypes à longs bras
Abraham Trembley, Mémoires pour servir à l’histoire d’un genre de polype d’eau douce, à bras en forme de cornes, Paris, Éditeur Durand, 1744.
Un sauvage qui au lieu d’être couvert de fourrure
Réaumur, Mémoires pour servir à l’histoire des insectes, Paris, Imprimerie Royale, 1737.
J’en ai vu souvent qui étoient entiérement couverts de petites coquilles de limaçons aquatiques, d’autres de coquilles de moules bien entières, et dont les deux pièces étoient assemblées. Ces sortes d’habits sont jolis, mais ils sont de plus très singuliers en ce qu’ils sont quelquefois faits d’animaux vivans. Un sauvage qui au lieu d’être couvert de fourrure, le seroit de rats musqués, de taupes, ou d’autres animaux en vies, auroit un habillement bien extraordinaire : tel est en quelque sorte celui de nos teignes.